lundi 31 janvier 2011

Les Impressionnistes à Rouen: une exposition et un site

Les impressionnistes ont été d'autant plus liés à cette ville que ce mouvement pictural y est né: les Impressionnistes ont vu le jour dans la ville de Rouen.

Ainsi, le Musée des Beaux Arts de Rouen leur a rendu hommage dans une exposition qui s'est achevée en septembre 2010.
Vous pouvez vous rendre sur le site qui y est consacré, en cliquant ici.

dimanche 30 janvier 2011

La représentation de la province dans Bel-Ami: tableaux impressionnistes

Pour compléter l'analyse du texte à proprement parler, je vous propose d'étudier les tableaux impressionnistes suivants:

  • Claude Monet
Le monde des canotiers:
Bain à la grenouillère, 1869
Régates à Argenteuil, 1875

Le monde ensoleillé du Cap de l'Estérel


Le monde changeant, au gré des heures, du temps qui passe:
La série de tableaux représentant la Cathédrale de Rouen
Le parlement de Londres, soleil couchant, 1903
Impression soleil levant, 1872
  • Edouard MANET
Argenteuil, 1874

  • Auguste RENOIR
Le déjeuner des canotiers, 1880-1881

samedi 29 janvier 2011

Préparez la rencontre avec Fabrice Humbert

Chers élèves de Première (Es et SMP),

la rencontre avec Fabrice Humbert est bien confirmée, jeudi 3 février, de 10h30 à 12h15 (4e et 5e séquences) dans l'ancienne salle de musique (E40).

Il présentera notamment son troisième roman publié, L'Origine de la violence, qui a une dimension autobiographique.  Je vous propose d'ailleurs d'emblée sa lecture, prochainement, parallèlement à notre programme. En effet, nous ne traiterons ce thème que l'année prochaine (5ème trimestre: l'autobiographie aux 20ème et 21ème siècles).

Pour découvrir l'univers de Fabrice Humbert, vous pouvez surfer sur son site (voir ci-contre) et également prendre connaissance des documents audiovisuels présentés ci-dessous.

Évidemment, je vous rappelle que pour mardi, vous devez faire une lecture synthétique du dossier de presse que je vous ai remis.

  • Pour commencer, une présentation de Fabrice Humbert et L'Origine de la violence, sur WebTV Culture en vidéo ici.
  • Voici un film retraçant la rencontre avec les élèves du Lycée Galilée de Cergy: ici.
  • Le reportage diffusé dans le journal "Cergy Pontoise Hebdo", de la télévision de la région de Cergy: ici.
  • Vous pouvez enfin écouter l'émission radiophonique québécoise "Vous m'en lirez tant" du 3 mai 2009 (à la 25ème minute): ici.

samedi 22 janvier 2011

Une exposition sur la ville moderne à Strasbourg (jusqu'au 6 février)

 Je recommande, aux élèves de Terminales notamment, l'exposition organisée par le Musée d'Art Moderne et Contemporain de la Ville de Strasbourg, et qui porte sur un de nos thèmes: la ville moderne.

vendredi 21 janvier 2011

Teaser de Bérénice, mise en scène par Laurent Brethome (2)

Le teaser de la mise en scène de Bérénice par la Compagnie Le Menteur Volontaire

Mise en scène par LAURENT BRETHOME

Qu'en pensez-vous?

Dans quelle mesure cette mise en scène vous paraît-elle moderne?

Analysez:
- la musique, le son, le ton des comédiens
- le décor, les lumières

Méthode pour l'écrit (modifié)


Pour l'ensemble de l'épreuve écrite

-Toute citation doit être expliquée, sinon on court le risque de faire de la simple paraphrase.
- Le correcteur connaît le texte, il attend de vous que vous lui montriez que vous l'avez compris.

1. RÉDACTION DES QUESTIONS
Le problème général de la paraphrase
Souvent, vous ne faites que de la paraphrase : définissez, expliquez chaque mot clé et réemployez vos définitions dans une phrase qui ne comporte AUCUN mot du texte : cela s'appelle expliquer, reformuler.
La paraphrase consiste à vouloir expliquer des mots en ne faisant que les répéter, à reprendre des mots/ propositions/ phrases du texte, sans mettre de guillemets, comme si cela suffisait à expliquer.
Cela est assez gênant : vous n'expliquez pas, vous ne montrez pas que vous avez compris de quoi il s'agit, et vous ne gagnez aucun point.

  1. LA QUESTION DE LEXIQUE
  • Il faut tout rédiger, et non présenter des notes, même organisées.
« Hors contexte, …
En contexte... »

  • Vocabulaire : Évitez l'éternelle utilisation de « ce que dit l'auteur » : l'auteur ne « dit » rien,
il l'écrit, l'affirme, le déclare, le démontre, souhaite mettre en évidence, appuie sur le fait que, etc.

  1. LES QUESTIONS D'INTERPRÉTATION
Mêmes remarques. Pensez  à faire des phrases claires:
- répondez à la question
- citez le texte précisément (les citations ne doivent pas être trop longues)
- expliquer ce que montre la citation choisie, procédez à des analyses précises (figures de style, argumentation)
- concluez en une phrase, en reprenant vos analyses.

2. RÉDACTION de L'ESSAI

  • Les marques de votre présence / de votre interlocuteur
  • PRIVILÉGIER LE « nous » : beaucoup plus élégant que le « on »
  • On ne s'adresse pas au correcteur, au lecteur directement, dans des travaux d'analyse : ceux-ci doivent avoir l'apparence la plus objective possible, la plus rationnelle possible.
Ne surtout pas dire : « Je vais maintenant vous montrer », même « Nous allons maintenant vous montrer » : supprimez tout simplement ces « vous ».

  • Tournures que vous avez utilisées et qui sont à éviter :

  • dans ce texte/ dans cet essai > dans notre développement
  • « après avoir vu tous ces arguments »  > préférez le « Pour conclure, ... », « En conclusion, ...  »
  • c'est clair que > il est clair que
  • « dans la partie prochaine » > à présent

  • Futur proche à éviter absolument : utiliser le FUTUR SIMPLE de l'indicatif
Le futur proche est trop familier à l'écrit (même à l'oral en situation d'examen).


  1. L'introduction

Rappel de la méthode, des différentes parties


  • N'oubliez pas d'insérer la citation du sujet dans votre introduction.
  • Vous devez alors l'analyser en détail (un peu comme dans la question d'analyse lexicale) afin d'en dégager une problématique riche, précise et nuancée.
  • L'annonce du plan doit déjà être dans le contenu : ne dites pas « nous présenterons les arguments pour, puis les arguments contre la thèse de l'auteur », vous devez reformuler les thèses en présence.
  • Et enfin, n'annoncez pas que vous allez conclure, dès l'introduction : on s'en doute, c'est l'exercice qui veut cela, et cela est tout à fait inutile.

  1. La conclusion

Éviter absolument le relativisme qui semble vous gagner en fin de devoir : cela est très fortement sanctionné, car on vous demande justement d'arriver à une conclusion synthétique et non relativiste, qui permette non de dire I. est faux, II est vrai, mais à un avis plus complexe, plus nuancé, et donc forcément plus intéressant.
Donc ne vous lancez pas dans de longs développement pour expliquer que les deux thèses que vous avez justifiées se valent et sont égales. L'ordre de votre plan indique déjà une position, un avis : le II. Est forcément plus intéressant à vos yeux que le I. ou bien vous vous êtes trompés dans la disposition de votre plan.
Tout ce développement que vous avez pensé, écrit, justifié, illustré d'exemples,  vous amène forcément à une conclusion plus intéressante que ce que vous avez annoncé en introduction.


mardi 18 janvier 2011

La famille (thème langue du partenaire): enquête récente

Voici une mise au point récente sur la population française publiée aujourd'hui dans Libération (journal national et quotidien)

"Jeunes, vieux, mariés, pacsés, bébés… la France compte 65 millions d'habitants"

vendredi 7 janvier 2011

Les premiers sonnets de Marot à Malherbe, par Jacques Roubaud

Jacques Roubaud (poète, romancier, membre de l'Oulipo),


Source: http://www.oulipo.net/oulipiens/jr                                                                                                 

tente de retrouver les origines des premiers sonnets français, et notamment du fameux sonnet de Clément Marot qui serait le premier sonnet écrit en français...

Vous pouvez télécharger ce document en cliquant sur le lien suivant:
http://dl.dropbox.com/u/18202876/histoire_premier_sonnet.pdf

 En voici les premières lignes:

Le premier sonnet ?

La gloire, ou du moins la responsabilité de l’introduction du
sonnet en France reste, aujourd’hui encore, disputée. Les deux pré-
tendants traditionnels sont Marot et Saint-Gelais. Du Bellay, dans
la préface « au lecteur » de la deuxième édition de L’Olive (1550)
écrit, non sans quelque sournoiserie : « Voulant... enrichir nôtre
vulgaire d’une nouvelle, ou plutôt ancienne renouvelée poésie, je
m’adonnai à l’imitation des anciens latins et des poètes italiens,
dont j’ai entendu ce que m’en a pu apprendre la communication
familière de mes amis. Ce fut pourquoi, à la persuasion de Jacques
Peletier, je choisi le sonnet et l’ode, deux poèmes de ce temps là (c’est
depuis quatre ans) encore peu usités entre les nôtres : étant le sonnet
d’italien devenu français, comme je crois, par Mellin de Sainct
Gelais, et l’ode, quant à son vrai et naturel style, représentée en
nôtre langue par Pierre de Ronsard. »
On ne peut guère être beaucoup plus précis aujourd’hui. (...)

Source: téléchargement libre des huit premières pages de l'ouvrage Soleil de Soleil (publié en 1990) sur le site de l'Editeur Pol.